Ce que nous expérimentons, ce n’est pas du télétravail, c’est du “confitravail” !
Une enquête de l’Association Nationale des DRH parue le 6 avril 2020 indique que 40% des salariés français font l’expérience du télétravail pendant cette période de confinement. Une seconde étude OpinionWay parue le 20 avril estime elle que 18% des télétravailleurs confinés présentent des signes de troubles mentaux sévères, sont anxieux, voire dépressifs.
Nous avons nous-mêmes contacté une cinquantaine de nos clients, appartenant à tous les secteurs économiques français : tous nous ont fait part du recours massif au télétravail et la plupart constatent l’épuisement d’une partie de leurs collaborateurs.
Le télétravail s’est donc bien généralisé de manière rapide et forcée et il serait source de mal-être pour ceux qui le pratiquent ?
Non ! S’il vous plaît, arrêtons de parler de “télétravail” pour qualifier la manière dont les salariés français exercent leur profession à distance depuis le début de cette période de confinement.
Ce que la plupart des personnes expérimentent, ce n’est pas du télétravail. Cette situation exceptionnelle impose un terme dédié, appelons donc ce mode de fonctionnement le “confitravail”.
Le confitravail, n’est pas le télétravail !